« Avril 2020. Alors qu’environ 3 milliards d’êtres humains sont confinés, des lampadaires restent allumés et éclairent des rues vides en consommant de l’énergie. Dans ce documentaire, je m’intéresse à l’impact de la pollution lumineuse sur l’environnement, sur l’être humain et sur sa capacité à rêver. Je constate qu’il est possible d’éclairer plus intelligemment sans avoir besoin d’éteindre et de revenir à l’âge de pierre. Je me mets également à la recherche des lucioles de mon enfance noyées dans ce monde sur-lumineux où l’obscurité est trop souvent confondue avec l’obscurantisme. » Corentin Kimenau